Caryl Ferey a raconté avec humour cette aventure inédite pour lui, qui aime plutôt la chaleur, dans une région hostile pour son climat, la pollution - due aux mines de nickel - et les conditions de vie des habitants.
Son récit a été émaillé d’anecdotes grâce à la présence de la Bête, son ami photographe, personnage «excessif » mais tellement attachant.
On retiendra la chaleur humaine, les rencontres et sans doute un prochain roman de Cary Ferey ayant pour cadre Norilsk et la Sibérie. On est impatient !